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Journal Secret d'Alabastor

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Message par Aristoi Mar 15 Fév - 0:03

[Ce journal est consigné dans un document inaccessible. Il se trouve en permanence sur la personne d'Alabastor, et est rédigé dans un code compliqué. Les informations qui y figurent n'ont pas de raison d'être connues des autres personnages joueurs, mais puisqu'il s'agit d'un forum public, on pourra faire comme si. Les parties les plus secrètes ne figureront pas sur ce forum (ça m'évitera d'avoir à les écrire, deux points p minuscule). Alabastor est un personnage secret et discret. Il ne fait pas étalage de ses exploits comme certains. Je ne vise personne.]

A l'Abordage!

Je ne pensais sincèrement pas que la situation pourrait s'améliorer. C'est pourtant ce qu'elle a fait. Après l'odieux complot dont j'ai été la victime, un coup du destin a eu pour conséquence ma libération, et le lancement d'une grande aventure qui pourrait s'avérer ma seule porte de sortie vers la liberté et la gloire.

Après le coup monté contre moi, et le panneau dans lequel je suis bêtement tombé, mes ennemis m'ont vendu en esclavage à l'OCG. Je ne dois la liberté qu'au hasard, ou à la providence, survenue sous le nom d'Espadon, et de son capitaine, Ardenys. Sous ses dehors intransigeants et psychorigides, elle s'est révélée, en fait, psychorigide et intransigeante. Quoique naviguant sous le pavillon noir des Pirates de l'Espace, sa façon de mener son équipage m'a plus fait penser à celle d'un capitaine dans l'armée Galactique. Nous sommes loin de ce vent de liberté et d'espoir qui soufflait à bord du vaisseau du capitaine Adams, aussi court qu'ait pu y être mon séjour.

"La liberté, d'accord; la discipline, d'abord". Je suis en désaccord total avec cette devise, sauf la première partie, évidemment. La discipline est une contrainte sociale inventée par ces porcs de nobles solaires pour justifier l'ordre inique qui sous-tend leur ziggourat mortifère. Les millions de serfs qui ploient sous le joug des classes privilégiées ne pourront jamais s'extraire de la gangue où les a confinés le déterminisme ignoble de la machine à broyer la vie qu'est l'Empire de Sol, à moins que l'idéal pirate n'embrase la galaxie et ne jette à bas cet échafaudage vermoulu. Plus que jamais, je suis prêt à tout pour me jeter à corps perdu dans la grande aventure qu'est la vie d'un pirate.
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Message par Aristoi Lun 24 Oct - 13:01

Le Roi-Sorcier de Shalifar

Après la mort de Korfu, la défection de la traîtresse et de dix membres d’équipage, le sabotage de notre vaisseau nouvellement acquis et l’irruption dans le système stellaire de Shalifar, les choses se sont mieux passées. Notre vaisseau, baptisé El Sirocco en hommage à notre défunt pilote, a subi le feu nourri d’une sentinelle de l’espace, une gigantesque statue aux traits aliens, flottant dans l’espace, aux yeux verts luminescents. Des rayons, dardés depuis lesdits yeux, nous ont causé d’importants dégâts, que l’équipage réduit n’a pu compenser que grâce au talent (gomme à mâcher) de notre ingénieur-cannonier, Wrench, l’homme-poulpe mutant venu des Barrens.

Le problème initialement posé par la pullulation, au sein du système de Shalifar, de dizaines de statues géantes, a été résolu par notre expédition, à Wrench, le capitaine Andrew Hawkins et moi-même, au sein d’une des statues, la plus proche de notre vaisseau endommagé, de fait. Nous y avons été soumis à une vision des temps anciens, la venue en une époque immémoriale (l’Age des Conquêtes ?) d’humains et d’un mutant, à bord de leur vaisseau, sur Shalifar, une planète verdoyante, couverte de jungles primitives peuplées de léviathans, régie par une princesse régnant sur un peuple de mutants identiques, des humanoïdes à tête de tigres. Toujours dans notre vision, un mutant albinos aux longs cheveux violets, identifié par nous comme le roi-sorcier, a pris le contrôle de la planète, refoulé dans la jungle la princesse et ses hommes-tigres, et instauré un règne millénaire sur le système.

Un improbable et incompréhensible réseau technologique permet au roi-sorcier, et aux personnes arrivant dans le système, d’orienter la course des astres et de permettre aux vaisseaux amis de se frayer un passage jusqu’aux différentes planètes. Nous avons trouvé un modèle réduit du système, que nous avons, grâce à l’intervention d’un mutant (Wrench, puis Zed lorsque nous dûmes renouveler l’expérience suite à une erreur d’orientation) et de la mystérieuse « énergie X » que son organisme sembler renfermer (liée aux systèmes stellaires binaires, ce qui est le cas de Shalifar et était aussi le cas du système baptisé Andrew VIII, dans lequel nous nous étions brièvement échoués), activé pour nous frayer une route stellaire jusqu’à la quatrième planète du système. Ce caillou sans vie, constellé de palais cyclopéens, semblait avoir fait l’objet d’un assaut ancien, et d’une structure malsaine n’étant pas sans rappeler le Cloaque. L’architecture locale, aussi passionnante soit-elle, n’a pas retenu notre attention plus de temps qu’il n’en fallut pour esquiver l’esquisse de vortex dimensionnels en formation dans son orbite. La planète est défiguré par une colossale trace de morsure, au cordeau, comme si un monstre géant avait mordu dans la pomme.

Une fois activé le dispositif de navigation intra-systémique, nous avons pu, voguant entre deux haies de statues géantes, toutes différentes et chacune représentant apparemment une espèce alien différente (simple conjecture), faire route jusqu’à Shalifar. En chemin, nous avons dû éviter les rayonnements de statues défectueuses, échapper à l’attaque d’un vaisseau de la Horde Noire du Grand Khan, qu’une statue a détruit pour nous, et survivre au vortex dimensionnel qui menaçait de nous disloquer. Une bonne synergie entre les membres de l’équipage a permis de nous en tirer à bon compte. Il ne nous a pas été possible de sortir de notre route pour nous servir sur les nombreuses épaves jonchant le système, qui nous eussent aidé à réparer nos avaries, mais le jeu n’en valait pas la chandelle, et le danger dépassait l’enjeu. Nous sommes arrivés sains et saufs sur Shalifar.

Shalifar est une bille verte, et nous accostâmes sur un lac d’altitude, au sommet d’une montagne dont les environs présentent une intéressante anomalie, l’atmosphère étant comme coupée au couteau pour permettre une juxtaposition, à la structure géologique impressionnante qui s’y dresse, du vide spatial, ou tout au moins d’un firmament étoilé. Une fois débarqués, nous avons été accueillis par un chambellan escorté d’hommes-tigres. Il semblerait qu’une révolte de palais ait permis le renversement (temporaire ?) du roi-sorcier, qui se serait rendu dans la forêt pour d’étranges desseins. Nous avons pu constater, une fois les officiers débarqués (l’équipage restant à bord), que la ville était en proie à une fièvre, l’insécurité et le malaise plongeant sa population dans le silence et la prostration. Après avoir, plus ou moins subtilement, parcouru la bourgade et sondé ses habitants, il nous est apparu que le roi-sorcier avait été évincé, qu’il était traqué et que ses sympathisants n’étaient pas bien considérés. En recoupant divers indices, nous avons pu orienter nos recherches vers le quartier des docks, où nous pensions pouvoir croiser un mutant orange, susceptible de nous aider.

Nous avons trouvé le mutant orange, il s’agit de l’amiral Var Hamon, un des quatre amiraux qui régissent le petit monde des pirates de Havanna. Je l’ai tout de suite reconnu, malgré le grand manteau qui le couvrait. Notre dernière entrevue n'est pas récente, mais il n'a pas changé. Il était mal en point, et poursuivi par une patrouille d’hommes-tigres. N’écoutant que notre courage de pirates, nous avons ralenti ses poursuivants, avant que d’autres hommes-tigres n’engagent le combat avec nous. Ce sont de redoutables combattants au corps-à-corps, sans oublier les arcs dont ils se servent avec une terrible précision. Leurs flèches semblent enduites d’une substance toxique, heureusement personne parmi nous, sauf l’amiral, n’a été touché par leurs flèches (mais il s’en est fallu de peu). Nous étions sortis du Sirocco légèrement armés, mais nous avons tout de même pu nous défendre, avec les moyens du bord. Au cours du combat, j’ai malheureusement perdu mon arme, ainsi que mon grappin magnétique.

Nous avons réussi à causer d’importants dégâts à la place du marché où nous sommes battus, sans toutefois mettre le feu aux bars qui ne manqueront pas de s’y trouver si nous cherchons bien. Quoique sévèrement touché par les flèches et les griffes des hommes-tigres, Var Hamon a pu survivre grâce à notre intervention, une bouteille de rhum et la solidarité pirate. Nos poursuivants, loin d’abandonner la poursuite, ont convoqué plusieurs de leurs collègues, et nous avons vite été cernés par une centaine de patrouilleurs. Nous avons, fort heureusement et avec panache, réussi à nous replier jusqu’aux docks, et une jetée au bout de laquelle nous attendait une embarcation, que nous avons arraisonnée. N’ayant malheureusement pas le temps nécessaire au crochetage du sas de sécurité, c’est à l’épée-tronçonneuse que nous avons pu nous introduire dans l’habitacle. Mes connaissances en ingénierie sont loin d’égaler celles de Wrench ou de Shakotay, nouvellement promu second du Sirocco en l’absence du capitaine, mais j’ai tout de même pu faire démarrer la machine pour que Wrench nous rejoigne in extremis et que nous puissions nous détacher de l’embarcadère, et faire voile vers le large, et la mer avec laquelle le lac communique, et sur laquelle nous attend normalement le Salammbo, vaisseau-amiral de Var Hammon. Si nous parvenons à semer nos poursuivants, et les hommes-tigres qui tentent de pénétrer dans notre canot, nous avons toutes nos chances de nous en sortir.


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Message par Aristoi Mer 16 Nov - 17:35

Le Roi Sorcier de Shalifar (2ème partie)

Après avoir récupéré l’amiral Vaar-Hammon, nous avons traversé le lac à la recherche d’une ouverture sur la mer. Les hommes-tigres embarqués n’ont pas survécu à l’accélération, et nous avons pu poursuivre notre fuite. Cette fuite n’a malheureusement pu se poursuivre au-delà du rivage le plus proche, une déflagration ayant compromis l’intégrité de notre coque. Nous avons pu, sans blessure recevoir, rejoindre la côte, en récupérant une radio, le journal de bord et des rations de survie.

Mon expérience passée m’a déjà mis au contact de la jungle. Je connais relativement bien ce genre d’environnement, et j’ai pu aider mes camarades à se sortir des tourbières et marécages ambiants. Déambuler dans la mangrove n’est pas toujours aisé. Grâce à la radio que j’avais récupérée à bord, Vaar Hammon a pu contacter son vaisseau, le mystérieux Salammbo, pour prendre rendez-vous avec lui. Nous avons marché quelques jours dans la jungle, avant de rejoindre la mer par une crique dissimulée dans la verdure attenante.
Le Salammbo n’est pas un vaisseau ordinaire. La technologie qui a permis sa construction et qui continue de permettre son fonctionnement, pour peu qu’il s’agisse effectivement de technologie, est clairement d’origine alien, non-humaine, mais pas de cette non-humanité inquiétante et malsaine qu’il nous a été donné d’apercevoir ici et là dans la galaxie. Le Salammbo semble constituer une fusion d’ancienne technologie et de biologie venue d’ailleurs. A l’état naturel, le vaisseau est camouflé, ou invisible, et n’apparaît aux yeux des spectateurs que par un effort conscient de son pilote.

La technologie organique du Salammbo ne se prête qu’au contact avec des mutants. Reconnaissant du service que nous lui avons rendu, Vaar-Hamon a accepté de nous transporter dans son sas, mais il ne nous a pas été permis d’aller plus avant dans le vaisseau. A part Wrench, notre mutant mécanicien canonnier, qui a pu visiter le reste du bord, dans le plus grand secret. Wrench semble avoir hérité d’une extension mutante de son corps, sans que j’aie pu en saisir précisément le fonctionnement.
Vaar-Hammon nous a lâchés dans la jungle, non loin de l’emplacement où notre vaisseau, le Sirocco, nous attendait. Il nous aurait fallu réparer nos avaries, mais je ne suis pas sûr que nous en ayons eu le temps. Il fallait agir vite, pour sauver la vie du Roi-Sorcier, détenu prisonnier par la princesse de la jungle dans son temple maudit. Grâce à une carte de la planète, qui nous fut confiée par l’amiral, nous avons pu établir un plan d’approche du palais. Le plan retenu prévoyait que notre vaisseau survole le temple en larguant une force d’intervention constituée du capitaine, de Wrench, de moi-même ainsi que de 8 fusiliers, dont Corsica Frog, notre cuisinier de combat.

La réalité s’est déroulée quelque peu différemment. Nous étions attendus par une embuscade de trois cents hommes-tigres et une prêtresse activement prête à nous nuire. Notre survol du palais s’est transformé en une lutte contre des tentacules d’énergie bleue contrôlés par les pouvoirs mentaux de la princesse. Nous sommes sortis en motos-jets, récupérées dans le système de Bazar à l’issue de notre match contre les champions locaux. Les motos nous ont permis de sortir du vaisseau. En prenant appui sur un des tentacules, j’ai pu me diriger vers le palais, où j’apercevais la princesse occupée à psalmodier. C’est une femme bien faite, à la peau bleue. Elle manipulait des énergies impies, de couleur bleue, qui sortaient d’un bassin d’eau pour enlacer notre vaisseau menaçant de se fendre en deux sous le choc.
Wrench, Andrew et les autres ont été retenus par les hommes-tigres. J’ai pu prendre pied sur la plate-forme où se trouvait la princesse, mais le recours à ses pouvoirs a eu raison de nous. Je n’ai pas vu mes compagnons sombrer dans l’inconscience, mais j’ai pu, au moment de tomber dans le néant qui m’a vu naître, apercevoir un homme cornu semblable aux habitants d’Inferna Incognita, auquel la princesse s’adressait en l’appelant « Démon de Shalifar », et qui apportait aux énergies bleues de la maîtresse des lieux, une énergie rouge de mauvais augure.



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Message par Aristoi Lun 28 Mai - 19:47

Départ de Shalifar

Après les étranges événements survenus sur la planète Shalifar, notre équipage s’en alla dès que les réparations du vaisseau le permirent. Nous avions recruté quelques hommes-tigres, sous la supervision d’Amra, dévoués corps et âme au capitaine Andrew Hawkins.

Le séjour sur Shalifar nous avait tous changés, de façon parfois mystérieuse. Wrench était désormais doté d’une étrange armure composite constituée d’éléments apparemment glanés sur Shalifar. J’avais accepté, faute d’un usage plus exclusif, de lui donner l’essentiel des plumes de phénix que j’avais récupérées au cours de mes périples dans les jungles de Shalifar. Je ne savais pas à quel usage ésotérique il les vouait, mais j’avais l’intuition que cette armure allait lui sauver la vie.

Le capitaine avait passé l’essentiel des trois mois de repos que nous avions vécus sur Shalifar, en compagnie des hommes-tigres et de la princesse de la jungle. Il en avait retiré une connaissance embryonnaire de la langue des hommes-tigres, un contingent de gardes privés, et une mélancolie qui ne le quitterait plus. Il avait fait ériger, en échange des services que nous avions rendus au Roi-Sorcier et à ses administrés, une statue de notre regretté pilote, l’idéaliste Korfou Sirocco. Nous avions de fait baptisé notre vaisseau nouvellement acquis, Le Sirocco, en hommage à notre camarade défunt.

A titre personnel, le séjour sur Shalifar ne m’avait pas laissé indemne, mais j’étais encore loin d’en saisir toute l’ampleur. Grâce au Roi-Sorcier, nous avions pu traduire l’ancien document accompagnant notre carte au trésor, et nous avions des indices pour nous aider à le localiser, une fois trouvé le bon système stellaire (la galaxie étant vaste, ça n’allait pas être de tout repos). J’avais profité de la présence du Roi-Sorcier et de sa connaissance des anciens mystères, pour m’initier à la langue dite stellaire, celle parlée dans l’ancien empire galactique qui avait suivi l’Age des Conquêtes, à l’apogée de la présence humaine dans la galaxie.

En quittant le système de Shalifar, nous avons fait une escale par une des planètes intérieures du système, en se rapprochant de l’étrange étoile binaire qui trône au centre du stème shalifarien. Cette planète [insérer ici le nom de la planète] est une géante gazeuse, anormalement présente si près d’une étoile. A sa surface est actif un gigantesque cyclone, dans l’œil duquel nous avons repéré une étrange poche de calme. Saisi d’une étrange intuition, et comme habité par l’esprit de Korfou, j’ai pris place au poste de pilotage du vaisseau, pour foncer vers l’œil du cyclone. Le capitaine, un peu méfiant, a fait confiance à mon instinct.

L’œil du cyclone renferme les restes d’une grande bibliothèque, qui regroupait autrefois des millions ( ?) de livres sur cette planète, berceau ou lieu de résidence d’un peuple d’hommes-oiseaux dont Alcibiade était un des derniers représentants vivants. Le sage et taciturne bibliothécaire et archiviste nous avait copieusement aidé dans notre quête des savoirs anciens. Sur cette planète, dans l’œil du cyclone, nous avons aperçu des milliers de livres qui tournaient, en un étrange ballet ralenti, comme figés en une lente explosion. Alors que nous avions réussi à nous suspendre à la verticale du tourbillon, un unique ouvrage s’est détaché du vortex, et nous avons pu l’en extirper, avant de quitter l’orbite de la planète, et le système de Shalifar, qui n’allait pas tarder à cesser d’être accessible, dans notre espace-temps, aux coordonnées que nous connaissions. Mais les paroles du Roi-Sorcier avaient été sibyllines, et nous n’étions pas sûrs de leur interprétation.

Nous laissions derrière nous cette planète chargée de mystères, et ses habitants si particuliers, lourds de secrets et conscients de notre connaissance bien imparfaite des mystères du passé. La suite de nos aventures n’allait en être que plus épique encore.

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